En réponse à :
8 février 2010 22:26, par Vincent Romani
Bonjour
Professeur de science politique à l’Université du Québec à Montréal, j’ai séjourné au Caire et au Cedej jusqu’en 2008 avec bonheur.
Cohérente avec la mise au pas générale d’une recherche libre en sciences sociales et sur le monde arabe, cette attaque contre le Cedej et son personnel est grave en soi, et pour ce qu’elle signifie concernant l’Égypte, la France, les relations intellectuelles entre les deux pays, la détresse économique qu’elle implique pour d’excellents chercheurs et techniciens de recherche.
Bon courage à tous,
Vincent (...)